Magie de la vie, mystères de la mort

Dans la fraîcheur automnale, mon souffle devient un nuage de brume blanche.

Créateur des mondes, Maître du multivers, Acceptez comme offrande Mon sang versé sur la Terre. Que ma damnation soit plus douce, Que...

J’assiste à la naissance de nuages lourds et emmêlés sur l’horizon d’azur, l’eau salée montant sur mes chevilles comme une caresse. Les...

Le chemin, comme un pont droit devant soi, dans lequel il arrive que l’on zigzague

Ça venait tout juste de commencer. Beaucoup ne prenaient pas la situation au sérieux, croyant à des mensonges médiatiques.

De belles cicatrices passionnelles, éternelles.

Ce soir, le vent apportait l’obscurité, des nuages malaxés par une main invisible

Une cabane dans un arbre au tronc large et fier.

Mes dents sur son cou, la peau craque comme une pêche pas tout à fait mûre. Juteuse.

Du vent dans la plaine. Ciel gris crépusculaire, ma peau répond à la fraîcheur de l’air.

Des mots durs, de la sévérité, naît un être qui trouvera difficilement sa place.

Des yeux en larmes cherchant un défunt dans le coton de l’astre couchant.

Plus la musique avance, plus il me semble décoller du sol, la souplesse de mon jeune âge m’emporte

Les hommes s’étaient massés dans le silence autour de ce rectangle creux de terre nue.

Ce soir, il pleuvait. On allait encore patauger dans l’eau. Ce qui n’allait pas arranger l’état de mes pieds. Désormais, j’arrivais même à d

Âme esseulée depuis longtemps, je reste couchée sous les pousses de mousse, émergeant à peine du tronc d’un vieil arbre que j’affectionne. D

Et nous savions que jamais, jamais, nous ne rencontrerions les auteurs des méfaits. Étrange histoire, dans les caves, dans le noir.

Mes hurlements ne couvraient pas les siens. Mes ongles dans sa chair n’arrêtaient pas les coups. Il pleuvait de la colère, une fois encore,

Personne à qui me confier. Personne contre qui me nicher. Plus rien à demander. Et mon pauvre père ne pleurerait pas moins sans moi.